L’espoir qu’incarnent les Nations Unies repose sur le nom lui-même. Pendant le débat général de haut niveau de la 56e session de
l’Assemblée générale, les États Membres et les groupes d’observateurs ont affirmé l’espoir - s’exprimer d’une seule voix - de lutte contre le terrorisme et les
conditions qui l’engendrent. Tandis que les États-Unis pleurent la disparition de victimes innocentes et que les nations, unies dans la condamnation des actes de terrorisme, participent au
débat de l’Assemblée générale - qui a habituellement lieu en septembre, mais qui a été reporté du 10 au 16 novembre - le Secrétaire
général Kofi Annan, dans son discours d’ouverture, a fait les remarques suivantes :
 |
Photo ONU |
“Lorsqu’une famille est attaquée, c’est dans sa maison que les membres se rassemblent pour décider de ce qu’il faut faire. On serait
tenté de dire qu’il nous faut concentrer toutes nos énergies pour lutter contre le terrorisme. Pourtant, agir de la sorte serait octroyé une sorte de victoire aux terroristes. []
En somme, mes amis, l’ordre du jour de la paix, du développement et des droits de l’homme fixé dans la Déclaration du Millénaire n’en est pas moins urgent. En fait, il en
est même plus urgent.”
La Chronique ONU reproduit les extraits des discours prononcés au cours de cette session d’une semaine. Au nombre des intervenants figurent 42 chefs d’État ou de gouvernement, 9
Vice-Premiers Ministres et 96 Ministres des affaires étrangères.
Cliquetez les liens ci-dessous pour lire les citations. |