Droit international et justice

Gros plan d'une corde à laquelle est attachée une rose et d'un groupe de manifestants à l'arrière-plan de l'image.

« La peine de mort est une pratique qui ne devrait pas exister au XXIe siècle » a déclaré Volker Türk, Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, lors de la 58e session du Conseil des droits de l’homme à Genève. Dans son discours, il a souligné le rôle prépondérant qu'ont joué les pays du Sud dans le mouvement d'abolition de la peine capitale, sous l'impulsion de réformes juridiques et d'interventions judiciaires. Malgré ce progrès, en 2023, les exécutions ont augmenté de 31 % par rapport à l’année précédente, avec 1 153 exécutions enregistrées dans seize pays, notamment en Iran, en Arabie saoudite, en Somalie et aux États-Unis. Plus de 40 % de ces exécutions concernaient des infractions liées à la drogue, principalement en Iran. M. Türk a réitéré le rôle essentiel du pouvoir judiciaire dans l'interprétation de la loi en faveur de l'abolition, faisant référence aux réformes récentes du Malawi et de la Malaisie.

Une personne est assise devant son ordinateur et regarde son téléphone portable.

La corruption a des impacts négatifs sur tous les aspects de la société et est profondément liée aux conflits et à l'instabilité qui compromettent le développement social et économique et sapent les institutions démocratiques et l'état de droit. La prévention de la corruption, la promotion de la transparence et le renforcement des institutions sont essentiels si l'on veut atteindre les cibles prévues dans les objectifs de développement durable. La Journée internationale de lutte contre la corruption 2023 commémore le vingtième anniversaire de la Convention des Nations Unies contre la corruption. Alors que nous célébrons cette étape importante, nous réfléchissons aux changements positifs apportés par les efforts collectifs menés dans le cadre de la Convention.

The ICC building in The Hague, Netherlands.

la Chambre préliminaire II de la Cour pénale internationale a délivré des mandats d’arrêt à l’encontre du Président Vladimir Poutine et de Maria Lvova-Belova, Commissaire aux droits de l’enfant au sein du Cabinet du Président de la Fédération de Russie, pour crime de guerre de déportation illégale et de transfert illégal d'enfants.