Chaque année, des centaines de milliers de réfugiés et de migrants risquent leur vie sur les routes qui partent de l'est et de la corne de l'Afrique et de l'Afrique de l'Ouest, en direction de l'Afrique du Nord, de la mer Méditerranée et de l'Europe. Quelles que soient les raisons qui les poussent à se déplacer, les itinéraires qu'ils empruntent et les risques qu'ils encourent sont les mêmes. Une nouvelle visualisation de données s'appuie sur des entretiens avec plus de 31 000 réfugiés et migrants et cartographie ces itinéraires ainsi que les dangers les plus courants auxquels les réfugiés et les migrants sont confrontés.
Personnes déplacées et réfugiés
Alors que les déplacements forcés atteignent des niveaux alarmants, le HCR appelle à une action urgente mondiale pour s'attaquer aux causes profondes des déplacements forcés.
L’UNOPS travaille avec plusieurs partenaires locaux de mise en œuvre afin d’encourager la cohésion sociale au sein des communautés touchées par les violences au Nord du Mozambique.
La naturalisation permet aux réfugiés de se sentir chez eux au Mexique
Andrea et Johan ont tous deux été réfugiés pendant plsu de trois ans. POur eux, devenir citoyens mexicains signifie avoir désormais le sentiment d’appartenir pleinement au pays qui leur a donné protection et stabilité.
Une situation humanitaire complexe au Mozambique
En plein conflit au Yémen, des projets d'approvisionnement en eau menés par les communautés revitalisent celles-ci et leur fournissent un accès essentiel à l'eau potable, transformant ainsi des vies et réduisant le fardeau pour des millions de personnes.
IMAGINE : comment l'UNICEF aide les enfants déplacés dans le sud du Liban
Dans le sud du Liban, la situation sécuritaire s’est dégradée et a forcé plus de 100 000 personnes, dont 40 000 enfants, à se déplacer dans des camps provisoires, aux conditions extrêmement précaires. Découvrez les actions menées par l'UNICEF sur le terrain.
Médecins, libraires, responsables d'un département culturel ou encore retraitée... Découvrez les récits de ces hommes et de ces femmes qui incarnent le courage et la résilience des Ukrainiens depuis le début du conflit il y a deux ans. Depuis février 2022, le personnel de l’OIM œuvre sans relâche pour répondre aux besoins urgents, renforcer la résilience et permettre le relèvement, fournissant un soutien essentiel, et dans de nombreux cas vital, à plus de 6,5 millions de personnes en Ukraine et à travers les 11 pays voisins.
Une étudiante aspire à un retour à la normalité au Soudan
Islam Moubarak a été arrachée à sa vie à Khartoum par la guerre au Soudan. Elle vit aujourd'hui dans un camp de déplacés dans l'est du pays.
Jin Dawod, réfugiée syrienne vivant dans le Sud-Est de la Türkiye, est la fondatrice de Peace Therapist, une plateforme numérique et une entreprise sociale qui met en relation des thérapeutes avec des personnes ayant survécu à un traumatisme.
L'UNICEF aide les enfants soudanais réfugiés au Tchad
Après des mois de combats au Soudan, plus de 500 000 personnes se sont réfugiées au Tchad. Dans des camps provisoires, les enfants et les familles vivent dans des conditions extrêmement difficiles.
Le conflit au Soudan pourrait entraver les progrès de la lutte contre le paludisme dans le pays et dans la région. Depuis le début des combats, le Tchad est le pays voisin qui a accueilli le plus grand nombre de réfugiés soudanais.
Investir dans la santé menstruelle des femmes et des filles afghanes, dont les vulnérabilités sont exacerbées par les déplacements et les risques de violence fondée sur le genre, préserve leur dignité.
Comment échapper au changement climatique ?
La combinaison des conflits et des effets du changement climatique porte atteinte à la sécurité des communautés déplacées, à leur accès aux ressources essentielles et à leurs moyens de subsistance.
Les combats ont repris à Gaza après une trêve humanitaire qui a permis aux personnes déplacées par la guerre de recevoir l'aide dont elles avaient désespérément besoin. Cette trêve temporaire a offert un peu de répit aux habitants qui ont enduré des bombardements constants, des déplacements répétés et des nuits sans sommeil. Asmaa Marouf, Volontaire des Nations Unies, travaillait comme spécialiste des systèmes d'information géographique pour le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD). Lorsque la guerre a commencé, elle a été forcée de fuir sa maison avec ses enfants. Asmaa partage son expérience, ses craintes, ses espoirs et sa conviction que la guerre actuelle est différente des des sept précédentes qu'elle a traversées. Ses propos soulignent la nécessité d'un cessez-le-feu humanitaire total.