L’école Dimassa B, à Kaya, au Burkina Faso, accueille 622 élèves, dont 615 sont déplacés internes.

La capitale haïtienne Port-au-Prince et sa région sont ravagées par la violence des gangs et cette violence touche de plein fouet le système éducatif. Dans un entretien accordé à ONU Info lors d'une récente visite au siège de l'ONU à New York, le Représentant de l'UNICEF en Haïti, Bruno Maes, explique que l’éducation est menacée alors que beaucoup de parents n’arrivent plus à envoyer leurs enfants à l’école. Il y a des écoles qui sont occupées par des groupes armés, d’autres par des personnes déplacées et certaines n’ont plus d’enseignants car ils ont fui ou ne peuvent pas se déplacer en sécurité.

Grâce à l'appui du projet @SAFIA, chaque année 1 400 jeunes filles déscolarisées sont accompagnées pour devenir plus autonomes et regagner confiance en elles pour briser le cycle de la vulnérabilité.

Les discours de haine sont de plus en plus répandus sur les plateformes numériques, a averti mercredi l’UNESCO. Face à la propagation accélérée de ces discours et à leur impact sur nos sociétés, l’agence onusienne affirme que la meilleure défense est l’éducation.

Le Réseau des écoles associées de l’UNESCO, créé en 1953, a fêté l’an dernier son 70e anniversaire. Il rassemble 12 000 écoles dans 182 pays autour d’un objectif commun : construire la paix dans l'esprit des enfants et des jeunes.

Le projet Bridge vise à lutter contre l'esclavage et l'escalavage par ascendance au Niger. Un de ses axes d'intervention est l'appui à la scolarisation des enfants.

Forcée d'arrêter ses études car elle est une fille, Jamila, 18 ans, est aujourd’hui bénévole dans l’école primaire de son quartier en Afghanistan. Alors qu'elle se mobilise pour aider les filles de sa communauté à apprendre, elle appelle à soutenir l’éducation pour toutes.

La santé et la nutrition à l'école ont un effet positif sur les résultats scolaires des enfants, mais une école sur trois n'a pas accès à l'eau potable et à l'assainissement de base, selon l'UNESCO, l'UNICEF et le Programme alimentaire mondial.

Mary Nkisonkoi est animatrice de projet communautaire dans la vallée du Grand Rift au Kenya et bénéficiaire d'un projet de l'Organisation internationale du travail visant à réduire la pauvreté et à améliorer les conditions de vie grâce à un travail décent.

Partout dans le monde, des enfants sont privés de leur droit fondamental à l'éducation. Le projet financé par l'UNICEF Education Cannot Wait nous présente des histoires de persévérance et d'espoir que nous envoient ces enfants sous forme de cartes postales.

Originaires d’Arménie, d’Azerbaïdjan, du Bélarus, de Géorgie, de Moldavie et d’Ukraine, ces jeunes participent à un programme de bourses géré par l'UNOPS pour continuer leur formation à Tbilissi, en Géorgie.