HCDH

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Bien que la plainte contre l’ancien Haut-Commissaire ait été déposée sous le titre ST/SGB/2008/5, son enquête et la décision contestée ont été entreprises sous le titre ST/SGB/2019/8 et ST/AI/2017/1, conformément à l’art. 8.3 de ST/SGB/2019/8.

L’aspect de la requête dont le défendeur a contesté la recevabilité concerne la manière dont les plaintes pour abus de pouvoir du requérant, déposées au titre des ST/SGB/2008/5 et ST/SGB/2019/8, ont fait l’objet d’une enquête. Ce fait amène cet aspect de la demande dans le cadre de Nwuke 2010-UNAT-099. Par conséquent, la totalité de la requête est...

La section 10.1 du bulletin ST/SGB/2017/2/Rev.1 prévoit que l'action ou l'inaction de l'Administration suite à une recommandation du Bureau de l'éthique en vertu de l'article 8 constituera une décision administrative contestable en vertu du chapitre XI du Règlement du personnel si elle a un fondement juridique direct. conséquences affectant les modalités et conditions d’engagement du plaignant. Le Tribunal a donc jugé la requête recevable.

Afin de déterminer si la décision de ne pas mettre en œuvre les recommandations du président suppléant de mars 2020 était arbitraire, le Tribunal a examiné...

Il est courant que les recommandations, actes ou déterminations de l’UNEO soient sans conséquences juridiques directes et ne constituent pas des décisions administratives. Le rejet par l’Administration du rapport du président suppléant de mars 2020 n'a pas constitué une demande adressée au Bureau de l’éthique pour son examen, c’est-à-dire « un examen de l’examen ». Les documents disponibles montrent que, dans le cadre juridique applicable, des échanges ont eu lieu entre l'Administration, le Bureau de la déontologie et le BSCI concernant l'acceptation ou la non-acceptation du rapport et des...

Il a été établi par les preuves au dossier que le requérant s'est engagé dans des contacts non autorisés avec les États membres et l'UE, les médias et les médias sociaux. Il n'a pas non plus été contesté que ces communications externes contenaient des allégations selon lesquelles l'ONU et ses fonctionnaires étaient impliqués dans des actes graves de mauvaise conduite et des crimes de droit international, y compris la complicité de génocide.
Il restait à déterminer si la requérante avait une justification légale pour sa conduite en vertu de la politique de protection contre les représailles...

En résumé, le Tribunal estime que, dans cet exercice de recrutement, les procédures appropriées ont été suivies, que la candidature du requérant a été pleinement et équitablement prise en considération, que les règles et règlements applicables ont été appliqués de manière équitable, transparente et non discriminatoire, et que le Haut Commissaire du HCDH a correctement exercé son pouvoir discrétionnaire dans la prise de la décision de sélection.

Le TANU a souscrit à la décision du Tribunal des Nations Unies selon laquelle la décision de publier un communiqué de presse en réponse aux allégations selon lesquelles le HCDH aurait mis en danger la vie des défenseurs chinois des droits de l'homme qui ont assisté au Conseil des droits de l'homme à Genève en mars 2013 relevait du pouvoir discrétionnaire de l'Organisation et constituait une décision de gestion. prérogative. L'UNAT a estimé que la partie spécifique du texte qui concernait la question de la communication des noms de militants chinois des droits de l'homme au gouvernement chinois...

Le requérant ne conteste pas le fait qu'il a pris connaissance de la décision attaquée au plus tard le 31 décembre 2021, lorsqu'il a cessé ses fonctions, et qu'il a demandé l'évaluation par la direction de la décision attaquée le 15 avril 2023, soit plus d'un an après le délai légal.

Pour justifier l'introduction tardive de sa demande de contrôle hiérarchique, le requérant invoque son état de santé. Le Tribunal n'est cependant pas compétent pour "suspendre ou supprimer les délais de contrôle hiérarchique" (art. 8.3 de son Statut).

Par conséquent, le Tribunal a estimé que la demande de...

La requérante a commis une erreur en estimant que le BSCI ne faisait pas partie de l'Administration et que sa décision ne constituait pas une décision administrative définitive susceptible d'être contestée. En effet, le BSCI fait partie du Secrétariat. Il « opère sous l’autorité » du Secrétaire général, tout en conservant son « indépendance » opérationnelle. En conséquence, les décisions prises par le BSCI peuvent constituer, en fait, une décision administrative définitive.

Le fait que le requérant ait présenté deux rapports, l'un au BSCI et l'autre à l'Administration, n'obligeait aucune...

L'UNAT a constaté que l'UNT ne s'est pas trompé en droit ou en fait ou dépassé sa juridiction et a rejeté l'appel du secrétaire général. L'UNAT a constaté que l'administration avait été informée des conditions de travail disharmonies au sein du bureau régional pour l'Europe et n'avait pas pris de mesures en temps opportun. En exposant M. Cahn à des conditions de travail nuisibles pendant une période considérable (plusieurs mois), l'administration a échoué dans son devoir de diligence vis-à-vis de M. Cahn pour mettre en œuvre des mesures préventives ou intérimaires et donc empêcher tout dommage...

Si la demande est à recevoir dans son intégralité, bien que le demandeur ait remis en question la légalité du seuil pour se qualifier pour une allocation monoparentale, contenue dans la SEC. 4.4 de ST / AI / 2018/6, il doit être compris comme faisant partie de son raisonnement juridique ou de ses arguments et ne peut être considéré comme la «décision contestée» comme suggéré par l'intimé. En effet, le demandeur ne prétend pas dans le résumé que l'exigence contenue dans la Sec. 4.4 de ST / AI / 2018/6 est illégal mais cherche plutôt à contester l'application directe et individuelle de l...