New York
      UN
      Secretary-General's message on the International Day for the Preservation of the Ozone Layer [scroll down for French version]
    
          Statements | António Guterres, Secretary-General
      
        
Statements | António Guterres, Secretary-General
      Forty years ago, nations came together to take the first step in protecting the ozone layer – guided by science, united in action. 
The Vienna Convention and its Montreal Protocol became a landmark of multilateral success. Today, the ozone layer is healing.
This achievement reminds us that when nations heed the warnings of science, progress is possible.
Scientists are sounding the alarm once again. We are hurtling towards pushing global temperatures 1.5 degrees Celsius above pre-industrial levels, with devastating consequences.
I urge governments to fully ratify and implement the Kigali Amendment to the Protocol which commits to phase down hydrofluorocarbons (HFCs) - potent greenhouse gases used primarily in cooling technologies.
And I also urge them to reflect this commitment in their new national climate plans – or NDCs. These must be aligned with limiting global temperature rise to 1.5 degrees Celsius and cover all sectors and greenhouse gases, including HFCs.
Implementing the Kigali Amendment could avoid up to 0.5 degrees Celsius of warming by the end of the century. Paired with energy-efficient cooling, we could double these gains.
Every fraction of a degree matters. Every action counts.
On this World Ozone Day, let’s recommit to preserving our ozone layer and to protecting people and planet for generations to come.
***
Il y a quarante ans, guidées par la science et unies dans l’action, les nations se sont rassemblées pour prendre les premières mesures visant à protéger la couche d’ozone.
La Convention de Vienne et son Protocole de Montréal sont devenus des symboles de réussite multilatérale, et la couche d’ozone est désormais en train de se reformer.
Ce succès nous rappelle que lorsque les nations tiennent compte des avertissements de la science, le progrès est possible.
Aujourd’hui, les scientifiques tirent à nouveau la sonnette d’alarme. Nous courons vers une élévation des températures mondiales de 1,5 degré Celsius par rapport aux niveaux préindustriels, ce qui aura des conséquences dévastatrices.
J’exhorte les gouvernements à ratifier et appliquer l’Amendement de Kigali au Protocole de Montréal, qui prévoit l’élimination progressive des hydrofluorocarbones (HFC), de puissants gaz à effet de serre utilisés principalement dans les systèmes de refroidissement.
Je les invite également à tenir compte de cet engagement dans leurs nouveaux plans nationaux pour le climat (les « contributions déterminées au niveau national »), qui doivent être compatibles avec l’objectif de limiter la hausse de la température mondiale à 1,5 degré Celsius et couvrir tous les secteurs et tous les gaz à effet de serre, y compris les HFC.
La mise en œuvre complète de l’Amendement de Kigali pourrait éviter un réchauffement de 0,5 degré Celsius d’ici à la fin du siècle, et ces gains pourraient être doublés grâce à l’utilisation de systèmes de refroidissement à haut rendement énergétique.
Chaque fraction de degré est importante, chaque seconde compte.
En cette Journée internationale de la protection de la couche d’ozone, réaffirmons notre engagement en faveur de cette protection et de la préservation de la planète pour les générations à venir.
***
 
      The Vienna Convention and its Montreal Protocol became a landmark of multilateral success. Today, the ozone layer is healing.
This achievement reminds us that when nations heed the warnings of science, progress is possible.
Scientists are sounding the alarm once again. We are hurtling towards pushing global temperatures 1.5 degrees Celsius above pre-industrial levels, with devastating consequences.
I urge governments to fully ratify and implement the Kigali Amendment to the Protocol which commits to phase down hydrofluorocarbons (HFCs) - potent greenhouse gases used primarily in cooling technologies.
And I also urge them to reflect this commitment in their new national climate plans – or NDCs. These must be aligned with limiting global temperature rise to 1.5 degrees Celsius and cover all sectors and greenhouse gases, including HFCs.
Implementing the Kigali Amendment could avoid up to 0.5 degrees Celsius of warming by the end of the century. Paired with energy-efficient cooling, we could double these gains.
Every fraction of a degree matters. Every action counts.
On this World Ozone Day, let’s recommit to preserving our ozone layer and to protecting people and planet for generations to come.
***
Il y a quarante ans, guidées par la science et unies dans l’action, les nations se sont rassemblées pour prendre les premières mesures visant à protéger la couche d’ozone.
La Convention de Vienne et son Protocole de Montréal sont devenus des symboles de réussite multilatérale, et la couche d’ozone est désormais en train de se reformer.
Ce succès nous rappelle que lorsque les nations tiennent compte des avertissements de la science, le progrès est possible.
Aujourd’hui, les scientifiques tirent à nouveau la sonnette d’alarme. Nous courons vers une élévation des températures mondiales de 1,5 degré Celsius par rapport aux niveaux préindustriels, ce qui aura des conséquences dévastatrices.
J’exhorte les gouvernements à ratifier et appliquer l’Amendement de Kigali au Protocole de Montréal, qui prévoit l’élimination progressive des hydrofluorocarbones (HFC), de puissants gaz à effet de serre utilisés principalement dans les systèmes de refroidissement.
Je les invite également à tenir compte de cet engagement dans leurs nouveaux plans nationaux pour le climat (les « contributions déterminées au niveau national »), qui doivent être compatibles avec l’objectif de limiter la hausse de la température mondiale à 1,5 degré Celsius et couvrir tous les secteurs et tous les gaz à effet de serre, y compris les HFC.
La mise en œuvre complète de l’Amendement de Kigali pourrait éviter un réchauffement de 0,5 degré Celsius d’ici à la fin du siècle, et ces gains pourraient être doublés grâce à l’utilisation de systèmes de refroidissement à haut rendement énergétique.
Chaque fraction de degré est importante, chaque seconde compte.
En cette Journée internationale de la protection de la couche d’ozone, réaffirmons notre engagement en faveur de cette protection et de la préservation de la planète pour les générations à venir.
***