Processus préparatoire 

Les préparatifs de la LDC5 impliquent des examens nationaux, régionaux et mondiaux de toutes les priorités du Programme d’action d’Istanbul en faveur des pays les moins avancés par l’ensemble des parties prenantes principales.

Examens nationaux : Entre 2019 et 2020, les pays les moins avancés ont procédé à leur propre évaluation des progrès et des difficultés liés à la mise en œuvre du Programme d’action d’Istanbul au niveau national. Les rapports d’examens nationaux préparés par la majorité de pays les moins avancés sont disponibles ici.  

Examens régionaux : Organisé par le Gouvernement du Malawi, l’Examen régional pour l’Afrique s’est tenu du 22 au 26 février 2021 sous forme de réunion virtuelle. L’Examen régional pour l’Asie-Pacifique sera organisé à Dhaka par le Gouvernement du Bangladesh. 

Examens mondiaux : Les organismes des Nations Unies et d’autres organisations internationales et régionales concernées ont été invités à collaborer à l’organisation d’événements préalables à la Conférence et à entreprendre des évaluations thématiques afin de définir des stratégies pour progresser dans certains domaines sectoriels. Ces examens impliquent les gouvernements, le secteur privé, le monde universitaire, la société civile et des parlementaires. 

Le 18 juin 2021, les présidents de l’Assemblée générale et du Conseil économique et social (ECOSOC) ont organisé un événement spécial sur la diversification de la boîte à outils financière pour renforcer l’investissement dans les pays les moins avancés. 

Les résultats de ces examens inclusifs et généraux aux niveaux national, régional et mondial étaieront les travaux du Comité préparatoire intergouvernemental (PrepCom), dont le mandat consiste à convenir de certains points du nouveau Programme d’action en faveur des pays les moins avancés, qui sera ensuite finalisé et adopté à la Conférence de Doha. Lors de la séance d’organisation du 8 février 2021, le PrepCom de la LDC5 a élu son Bureau et deux coprésidents, les ambassadeurs du Bangladesh et du Canada, respectivement Mme Fatima et M. Rae. 

En plus du processus intergouvernemental décrit ci-dessus, l’ONU-OHRLLS a organisé à New York des réunions consultatives à l’intention des ambassadeurs et du Groupe des amis des pays les moins avancés, afin de parvenir à un consensus autour des nouvelles priorités. L’ONU-OHRLLS reste en outre déterminé à assurer la pleine participation de la société civile et des jeunes aux préparatifs de la LDC5. 

Il continuera à coordonner le groupe interinstitutionel chargé du Programme d’action d’Istanbul et ses contributions à la LDC5.   

Pour de plus amples informations sur les préparatifs menés au niveau mondial, cliquez ici.

About

LDC5 Preparations in the COVID-19 Era

Examens nationaux

En 2019, il a été demandé aux pays les moins avancés de rendre compte des progrès réalisés au niveau national pour atteindre les objectifs du Programme d’action d’Istanbul. Des directives relatives à la préparation de ces rapports nationaux ont été élaborées par l’ONU-OHRLLS et communiquées à l’ensemble des pays les moins avancés. Les équipes de pays des Nations Unies présentes dans les pays les moins avancés ont été invitées à étendre leur contribution, le cas échéant, aux préparatifs menés au niveau national. 

Examens régionaux

L’Assemblée générale ayant adopté une résolution en août 2020, les deux réunions régionales d’examen ont été reprogrammées. Organisées en étroite collaboration avec les gouvernements du Malawi et du Bangladesh, ainsi qu’avec la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique et la Commission économique et sociale des Nations Unies pour l’Asie et le Pacifique, celles-ci impliqueront tous les pays les moins avancés et leurs partenaires de développement. 

L’Examen régional pour l’Afrique s’est déroulé du 22 au 26 février 2021. L’Examen régional pour l’Asie-Pacifique a eu lieu du 30 août au 2 septembre 2021.

 

Examens mondiaux

Les organismes des Nations Unies, ainsi que plusieurs organisations internationales et régionales compétentes, notamment la Banque mondiale, le Fonds monétaire international et l’Organisation mondiale du commerce, ont été invitées à collaborer au processus d’examen mondial du Programme d’action d’Istanbul.