Mesures non disciplinaires/administratives

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Le TANU a estimé qu'une lecture objective de la demande de révision de la décision présentée par l'agent montrait clairement qu'elle n'avait contesté que le deuxième et non le premier blâme, tous deux prononcés pour ne pas avoir exécuté les tâches d'enseignement qui lui avaient été confiées. Le TANU a considéré que les références au fonctionnaire ayant émis le blâme, à sa date et à la mesure corrective demandée étaient indiquées dans la demande. Le TANU a donc estimé que le DT de l'UNRWA n'avait commis aucune erreur de fait ou de droit en considérant que l'agent n'avait pas introduit de...

L'UNAT a estimé que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur en concluant que les faits à l'origine de la réprimande écrite étaient établis. L’UNAT a reconnu que le plaidoyer de Mme Kamara-Joyner en faveur d’un membre individuel du personnel ne relevait pas de ses rôles et fonctions, tant en sa qualité de chargée de résolution des conflits pour l’UNOMS que de présidente de l’UNPAD. L'UNAT a constaté que Mme Kamara-Joyner n'avait pas expressément demandé l'approbation du conflit d'intérêts entre ses deux fonctions et avait refusé de suivre les instructions visant à éliminer le conflit d'intérêts...

L’UNAT a estimé qu’il y avait une nette disjonction dans la décision du Tribunal du contentieux des Nations Unies de faire droit à la demande de M. Nair uniquement en ce qui concerne les mesures disciplinaires (mais pas les mesures administratives), et en même temps d’annuler la décision disciplinaire elle-même. Le TANU a noté la confusion suscitée par la conclusion du Tribunal du Tribunal selon laquelle « aucune faute n'a eu lieu », tout en admettant que M. Nair avait « réagi et utilisé un langage hostile à plusieurs reprises » ce qui justifiait, de l'avis du Tribunal, l'imposition de mesures...

L'UNAT a examiné un appel déposé par des membres du personnel de l'UNRWA. L'UNAT a estimé que le DT de l'UNRWA avait eu tort de conclure que les lettres de rappel n'étaient pas des réprimandes destinées à permettre aux appelants de contester le placement des lettres dans leurs dossiers officiels. En effet, un tel rappel ne peut pas être considéré comme une action neutre, mais plutôt comme un avertissement concernant un éventuel non-respect du cadre réglementaire de l’Agence. L’UNAT a constaté qu’aux yeux d’une personne moyenne, un tel rappel s’apparente indéniablement à une réprimande.

L'UNAT...

L'UNAT a conclu que le Tribunal a commis une erreur en considérant que les différentes périodes de congé non payé pendant lesquelles M. Okwakol avait été placé faisaient l'objet d'une décision administrative unique et continue. L'UNAT a estimé que chacune des trois périodes identifiables faisait l'objet d'un examen ou d'un réexamen des circonstances à ce moment-là. À chaque fois, l'Organisation a pris une décision sur l'état de l'enquête pour faute professionnelle et sur sa nature en cours et a informé M. Okwakol en conséquence. Il n'était pas décisif, ni même important, que les...

L’UNAT a d’abord examiné l’allégation du Secrétaire général selon laquelle le Tribunal avait commis une erreur en concluant que la candidature de M. Loto était recevable pour toute la période pendant laquelle il était en congé temporaire. Le Secrétaire général a soutenu que M. Loto avait contesté en temps opportun seulement une décision initiale en matière de congé non payé, et non une décision ultérieure lorsque le congé non payé avait été prolongé. L’UNAT a rejeté l’argument du Secrétaire général sur la recevabilité, estimant que celui-ci était forclos de le soulever en appel. L’UNAT a...

Unat a jugé que l'UNRWA DT exerçait son pouvoir discrétionnaire pour poursuivre le jugement sommaire légalement et de manière appropriée. Unat a jugé que l'UNRWA DT avait commis une erreur lorsqu'elle a décidé que la demande de l'appelant n'était pas à recevoir Ratione Materiae. UNAT a noté que l'affaire était presque identique à Oussama Abed & Eman Abed c. Commissaire général de l'Agence des Nations Unies pour Relief and Works pour les réfugiés palestiniens du Proche-Orient (jugement n ° 2022-UNAT-1297). Conformément à ce jugement, Unat a jugé que le placement d'une lettre rappelant à l...

Le tribunal a constaté que la sanction dans cette affaire n'avait aucun lien rationnel ou relation appropriée avec les preuves au dossier et le but d'une discipline progressiste ou corrective. Les messages du demandeur étaient principalement réactionnaires, et il a montré un grand pâté en ne répondant pas au ton du plaignant. Le demandeur a été provoqué. Le demandeur n'a identifié aucune situation particulière qui justifierait l'anonymisation de cette question, en dehors de l'embarras et de l'inconfort personnels potentiels, qui n'étaient pas des motifs suffisants pour accorder l'anonymat.

Mme Pakkala a déposé un appel. Unat a constaté que la décision d'imposer les mesures administratives à Mme Pakkala était un exercice légal et raisonnable du pouvoir discrétionnaire. La lettre du directeur, DHR a clairement énoncé la justification pour imposer les mesures administratives, c'est-à-dire que le processus d'enquête avait fait surface un modèle de comportement présenté par Mme Pakkala au fil du temps, ce qui était préoccupant et justifié les mesures administratives. Alors que le directeur, DHR a constaté que la preuve d'un présumé harcèlement n'était pas claire et convaincante, à...

La justification de l'imposition d'une telle mesure administrative extraordinaire en matière d'Alwop concernant l'inconduite sexuelle est double, tout d'abord pour dissuader les membres du personnel de s'engager dans l'exploitation sexuelle et les abus et, deuxièmement, pour protéger les intérêts de l'organisation en confirmant son intégrité et son réputation. Toute décision d'étendre ALWOP doit être raisonnable et proportionnée. Une décision d'étendre ALWOP est une mesure administrative drastique et devrait normalement être de courte durée. Pour déterminer si une prolongation d'Alwop est...