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L'UNAT a estimé que le DT de l'UNRWA avait exercé à juste titre son large pouvoir discrétionnaire en ce qui concerne sa gestion des dossiers en concluant que le dossier dont il disposait était suffisant pour rendre une décision sans audience. Elle a conclu que l'appelant n'avait présenté aucun motif expliquant pourquoi une audience aurait été nécessaire et n'avait donc pas démontré que la DT de l'UNRWA avait exercé son pouvoir discrétionnaire de manière à affecter l'issue de l'affaire, comme l'exige l'article 2( 1)(d) du Statut du Tribunal d’appel.

Concernant l'argument du recourant selon...

Les conclusions du Tribunal sont les suivantes :

- La décision contestée concernait l'utilisation de l'évaluation des performances pour pénaliser le requérant.

- Le Tribunal était compétent pour réexaminer une décision contestée qui remplit les conditions énoncées à l'article 2.1(a) du Statut de l'UNDT. 2.1(a) du Statut de l'UNDT.

  • - L'évaluation des performances a été menée et achevée avec la mention "répond avec succès aux attentes" par le Bureau des relations extérieures de la requérante et approuvée par son Bureau des relations extérieures. Il s'agissait d'une décision unilatérale...
Appealed

2022-UNAT-1263, AAB

UNAT a rejeté l'appel. En tant que question préliminaire, Unat a refusé la demande d'AAB pour une audience orale au motif qu'il n'avait pas besoin de clarification supplémentaire, car les questions factuelles et juridiques résultant de l'appel avaient déjà été clairement définies par les parties, et une audience orale ne contribuerait pas à L'élimination rapide et équitable de l'affaire. UNAT a rejeté l'AAB affirmer que son droit à un procès équitable avant que l'UNDT avait été violé parce que, car la demande a été jugée à recevoir, et elle s'est vu refuser la possibilité de déposer une...

Mme Pakkala a déposé un appel. Unat a constaté que la décision d'imposer les mesures administratives à Mme Pakkala était un exercice légal et raisonnable du pouvoir discrétionnaire. La lettre du directeur, DHR a clairement énoncé la justification pour imposer les mesures administratives, c'est-à-dire que le processus d'enquête avait fait surface un modèle de comportement présenté par Mme Pakkala au fil du temps, ce qui était préoccupant et justifié les mesures administratives. Alors que le directeur, DHR a constaté que la preuve d'un présumé harcèlement n'était pas claire et convaincante, à...

2014-UNAT-480, Oh

Immasé a rejeté préliminairement la demande de confidentialité de l’appelant, puis a examiné le bien-fondé de l’appel, qui contenait trois motifs. En ce qui concerne le premier terrain, Unat a jugé que UNT ne s'est pas trompé en concluant que la procédure régulière était satisfaite si le membre du personnel pouvait commenter les déclarations de témoins anonymes fournissant des preuves contre lui. Unat a noté que les raisons de la retenue de l'identité des victimes et de ne pas les produire au procès ont été contenues dans le rapport d'enquête de l'OIOS envoyée à l'appelant, ainsi les...

UNAT a examiné l'appel du commissaire général. UNAT a noté que la procédure régulière exigeait que les deux parties aient la possibilité de présenter leur cas, et de ne pas leur permettre de le faire a entraîné une erreur judiciaire. Unat a constaté que l'exclusion par l'UNRWA DT du commissaire général de la participation à la procédure a été une violation claire de la procédure régulière, de manière à affecter la décision de l'affaire, qui doit entraîner l'annulation de l'arrêt et les affaires renvoyées pour une audience de novo devant un autre juge. Unat a noté qu'il n'était donc pas...

Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a noté qu'il n'était pas contesté que les éléments de preuve donnés par M. Verwey (un témoin appelé par le membre du personnel) concernant la falsification présumée des allégations de violation de la confidentialité par l'ancien superviseur du membre du personnel et l'ancien inspecteur général adjoint, n'ont pas été révélés dans le résumé des preuves de M. Verwey. Unat soutenait que Undt avait commis une erreur en n'attachant aucune importance à cette omission. Unat a jugé que le résumé qui avait été fourni était très différent des preuves...

Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur substantielle de procédure en ne accordant pas la légalité de la loi à l'administration. Unat a jugé que l'argument du secrétaire général sur la suspension de la date limite pour soumission d'une réponse, sur laquelle il s'est appuyé, a été étayé. Unat a jugé que UNDT n'aurait pas dû rendre un «jugement sommaire» par défaut sur le fond de l'affaire. Non soutenu l'appel et annulé le jugement de l'UND. L'affaire a été renvoyée à un autre juge UNDT pour être jugé sur ses mérites après que les deux...

En appel par le Secrétaire général, Unat a constaté que UNDT avait commis une erreur en fait et en droit dans sa conclusion que les faits d'inconduite n'avaient pas été établis par des preuves claires et convaincantes. Unat a noté qu'une considération appropriée de l'ensemble des preuves n'aurait pu conduire qu'à une conclusion, et c'est que l'individu a agressé la victime. Unat a constaté que l'UNDT ne considérait pas objectivement les preuves, en particulier en accordé une importance déplacée pour les incohérences mineures, en arrivant à des conclusions déraisonnables sur les faits qui n...

Le secrétaire général a fait appel. Unat a jugé que Undt avait commis une erreur en droit lorsqu'il a conclu qu'il y avait une violation des droits de la procédure régulière de M. Elobaid, car M. Elobaid était correctement informé des allégations contre lui, ce qui pourrait conduire à une action administrative et a eu l'occasion de faire des représentations contre la mesure prise. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur en fait, résultant en une décision manifestement déraisonnable, lorsqu'elle a supposé que la réprimande provenait de M. Ward, du programme de soutien et de gestion du...